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EXet [2013-2014]

 

 

Excerpt from the performance (Trio) /Extrait de la performance (Trio)

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Video related to performance/Another version of picture n°2

Vidéo en lien à la performance/une autre version du tableau n°2

performance

music-video-dance/musique-vidéo-danse

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Trio :

with/avec Jean Christophe Kaufmann et Jeanne BARBIERI

14 april/avril (2014)

Open Public (Pierre Boileau)

Pôle Sud, Strasbourg (FR)

 

Duo :

with/avec Jean Christophe Kaufmann

1 july/juillet (2013)

Open Public (Pierre Boileau)

Pôle Sud, Strasbourg (FR)

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Solo :

23 february/février (2013)

closure/finissage "Statiques" Arthur Poutignat

Syndicat Potentiel, Strasbourg (FR)

The roots of this triptych are words such as :exclusion and, confinement and, power and, manipulation and….Associated pictures , sounds and actions, come to question various modalities of  oppression and confinement (with body, architecture, ideology..), and/or to refer to it directly, in order to open potential reflections on diverse subjects such as: islamophobia, slavery, psychiatry….

 

So, a simple fabric becomes a bourkha, a « tent », a camisole…, a video of Gorée island (big slavery symbol, Sénégal) with  « Garde-moi les vaches » live played in the "intimicy" of the public (classic guitar  « guardame las vacas » spanich popular music  env.16e) slides into an intense visual and sound atmosphere, « oppressing » where the body is fighting…Then as an ultime answer, he makes a specific "silent drill", named here in reference  to Fela Kuti :« music is the weapon »

La genèse de ce triptique est une suite de mots :
exclusion et, enfermement et, pouvoir et, manipulation et, aliénation et, censure et…. Cette association d'images, de sons et d'actes, vient questionner les modalités d’oppression et de détention (par le corps, l’architecture, l’idéologie, le préjugé..), et/ou s’y référer directement afin d’ouvrir de potentielles réflexions sur divers sujets tels que : l’islamophobie, l’esclavage, la psychiatrie….


Ainsi, un simple tissu passe de la bourkha, à la « tente », à la camisole…, l'image de l’île de Gorée (haut symbole de la traite des noirs, Sénégal) accompagnée de « Garde-moi les vaches » jouée en direct dans « l’intimité » du public (guitare classique « guardame las vacas » musique populaire espagnole env.16e) vient glisser vers une atmosphère visuelle et sonore intense et « oppressante » où un corps se débat…
Enfin, ce corps dans une ultime réponse, réalise une marche militaire spécifique, nommée ici enréférence à Fela Kuti:
« music is the weapon »

[...]

C’est tout ce que mon corps raconte dans son déploiement,

dans cette lutte au tissu noir...

Cette lutte est une danse.

Cette lutte est une poésie.

Quand «l’extérieur», plus ou moins palpable, devient oppressant,

c’est par «l’intérieur» d’abord, que se fait la liberté.

Cette liberté dans une réalité poétisée,

dans un langage pacifié par la voix de rythmes et d'harmonies chantantes.

[...]

 

TEXTE INTEGRAL (FR)

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