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La Danse des Doigts de Dieu [2013-2017]

 

 

Pierre Soulages : "le sacré n'est pas le religieux :  tout le monde le porte en soi "

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installation : mixed media/video-installation-sound-.../

installation : techniques mixtes/ vidéo- installation-son-...

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24 may/mai-25 june/juin (2016)

​Gallery/galerie No Smoking

Strasbourg (FR)

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april/avril (2017)

Centre d'Art Sacré,

(Crypte moderne de la cathédrale Notre Dame de la Treille)

Lille (FR)

This installation is composed of a video projected on a monolithic volume, on a created ritual space made by small sculptures. They are on the flour, organized in a precise matrix with candles: minimum nineteen groups of three sculptures and one candle (see pictures) (fifty-seven sculptures), where animal bones are added.(…)In the performance, the body comes to realize an imaginary ritual by different actions, poses and clothe, wich refers to Creation’s myth (recognizable but also created).

 

In our laic societies, mainly athee, Art practices come to reactivate ritual forms of spirituality ans esotericism by re-questionning our symbols and the place of the body in our composed and normed realities ; continuing this universal quest of fundamental Origins (of Univers, Earth, Life, Humanity…), answering sometimes as allegoric as in the ancient myths.

(a first experiment had been created an a stage, for a release party of the music band "Bredelers")

Dans nos sociétés laïques et majoritairement athées, l’Art vient souvent réactiver des formes ritualisées de spiritualité et d'ésotérisme en re-questionnant nos symboles et notre implication corporelle dans nos réalités composées et normées ; tout en continuant cette quête universelle des Origines fondamentales (celles de l’Univers, la Terre, la Vie, l’Humanité...) en y répondant parfois de manière tout aussi allégorique que dans les mythes anciens.


Présentée à la galerie No Smoking, La Danse des Doigts de Dieu est une installation qui s'inscrit dans cette " nouvelle fonction" propre à l'art moderne et contemporain, en renvoyant au mythe de la Création sous la forme d'un culte imaginaire. Elle est composée d’une forme suspendue s'apparentant à une porte (stylisée), sur laquelle est projetée une vidéo, qui elle-même « préside » un espace rituel, inventé et formulé par un univers sonore et de petits modelages en argile.
Ceux-ci sont disposés à même le sol sur une trame bien précise et rythmée par des bougies : des modules de trois sculptures pour une bougie, auxquels participent des ossements animaux. Lors du vernissage, le corps par la performance vient formaliser ce rituel imaginaire, en effectuant différentes actions dans cet espace, ainsi qu'en portant un vêtement spécifique réalisé et conçu par l'artiste.Ce costume par la suite prend part à l'installation comme une trace (mémoire) de ce corps.


S'y ajoutent enfin, une série de dessins relevant du même discours plastique et sémantique, ainsi qu'une série de vidéos "tableaux" associées à des textes, issues d'une résidence de recherche artistique, où l'on peut retrouver ce vêtement : ce personnage allégorique, dans une "aventure" poétique et symboliste, abordant la relation de l'Homme et la Nature.

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[+] DOSSIER-PRESSE (FR)

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